Abaixo, roubo afeto surdo de silêncio
teu sair na rua fantástico,
les photographies de Gaëna Des Bois, la chambre noire
Les heures passent, les trains routent et les rails s'usent de leurs tangages de marins de rails doux...
Je sais. Je roule, seule.
Comme toi.
J'ai fait l'apprentissage des voyages solitaires et des rencontres qui marquent et gravent et reviennent en souvenances au rythme des musiques que font parfois les roues sur nos chemins.
(...) … Et l’enseigne à retrouver ses pas est là…Va... Va voir. Je suis dans la chambre noire quand je ne suis pas là…
J'ai saisi des ombres et aussi des lueurs, des manières d'exploratrice où j'ai conquis des mondes, quelques terres qu’on n’aurait pas crues fertiles.
Um comentário:
Un texte vraiment étonnant, j'essaye d'apprendre les nuances au sujet de vos lettres. Vous courez intérieur parti les nuages
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